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École thématique

Il s'agit d'aborder, de façon transversale au sciences de l'ingénieur, la problématique de l'efficacité énergétique.Après avoir précisé le sens des termes employés, en particulier ceux d’efficacité énergétique (relatif au service) et de rendement énergétique (physique), différents exemples de conversion énergétique sont balayés. Puis, la notion de puissance est définie comme le débit d’une conversion énergétique et une caractéristique importante des convertisseurs. Le rendement d’une conversion fait alors l’objet de développement dans une large variété de cas (chaleur, énergies mécanique et électrique…) où les limites, notamment la limite thermodynamique de Carnot, sont explicitées. Ensuite, les notions de rendement instantané (ou en puissance) et rendement sur cycle (ou énergétique) sont formalisées, et celle de rendement sur cycle de vie est introduite en incluant des notions de soutenabilité. Enfin, l’importance de la qualité de la gestion des conversions, du dimensionnement des convertisseurs et des usages est analysée, en particulier, pour bien mettre en évidence que maximisation de l’efficacité énergétique d’un système permettant de satisfaire un service ne rime pas nécessairement avec minimisation de sa consommation énergétique. Des exemples, dans des domaines variés (éclairage, transports, production d’électricité…) viendront illustrer les propos Doctoral

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Schématiquement, l'histoire des constructeurs automobiles voit, d'après Jean-Louis Loubet, se succéder le temps des pionniers (jusqu'en 1914), le temps des ingénieurs (± années 20), le temps des crises (1929-1945), le temps de la production de masse (1945-1955), la notion ayant été inventée par Henry Ford et imaginée pour la France par André Citroën dans les années 20, le temps des vingt glorieuses (1955-1974), le temps des illusions (1974-v. 1982) et le temps du renouveau (v. 1982-) ? La voiture est pour beaucoup d'hommes un objet d'identification narcissique et virile. Mais en ce début du XXIe siècle, certains conducteurs se « féminisent » et adoptent un comportement beaucoup plus désinvesti : pour eux, la voiture n'est plus un objet d'identification, elle devient purement fonctionnelle. La conductrice montre, en général, un attachement à son véhicule beaucoup moins fort que celui de l'homme. Elle a moins besoin de prouver sa puissance. Elle place sa fierté ailleurs ! La révolution du début du XXIe siècle : voitures connectées, moteurs électriques, voitures autonomes, véhicules loués, etc. Les voitures de chef d'État ? Les Renault 40 CV de la présidence de la Troisième République française entre 1920 et 1928, les nombreuses Mercedes 600 Landaulet, la Lincoln Continental, la Cadillac Fleetwood, la Delahaye carrossée, les Chrysler avec porte-fusils de la Guerre froide, bien sûr à l'Est les ZIL soviétiques. Mais au début du XXIe siècle, les longues limousines découvrables qui marquaient le prestige de la fonction de chef d'État n'ont plus la cote : l'heure est à la sécurité. révolution automobile, Albin Michel, coll. « L'aventure humaine », 1977, 385 p. (concerne le monde entier) : les grandes phases (trois grandes parties) : genèse d'une révolution, diffusion de la révolution, la révolution au pouvoir genèse d'une révolution : les premiers constructeurs, défaite des voitures à vapeur et des voitures électriques, expansion du marché et innovations dans la production à la Belle Époque

Anglais technique pour les professionnels; Master

Doctoral